Cyril Glaume
The Ne[XXX]t Epilog, c’est de l’avant-garde nawak metal dans le sens le plus littéral du terme (cette phrase, vous en faites ce que vous voulez, c’est cadeau), ce 4e opus offrant à Sebkah-Chott l'occasion de tâter en plus de la mécanique indus/noisy.
mr sterile
Oh my word, this has everything. complexity, chaos, comedy, composition and carnage. A bed of death defying drumming overlaid by layers upon layers of texture, text, and tone. BLISS!
Includes high-quality download in MP3, FLAC and more. Paying supporters also get unlimited streaming via the free Bandcamp app.
Purchasable with gift card
name your price
Compact Disc (CD) + Digital Album
This is the very first known version of the Ne[XXX]t Epilog. It is and will remain a physical version only.
Packaging is made with no petroleum at all: recycled carton origami for the box + wheat glue and craft paper instead of plastic blister.
Includes unlimited streaming of Ne[XXX]t Epilog v1.1 - The Digital Liberation
via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
Le Ne[XXX]t Epilog est le 5e album de SEBKHA-CHOTT.
Une nouvelle fois dans la discographie de SEBKHA-CHOTT, l'album est composé de 5 longs titres d'une durée située entre 15 et 20 minutes, divisés en sous-parties, et séparés les uns des autres par des interludes loufoques, fragments d'Ohreland.
Dans la lignée de ses prédécesseurs, cet album tranche malgré tout par la présence renforcée de machines électroniques. Cet apport vient épauler la recherche d'une "masse sonore" qui constitue le fil rouge de la réalisation artistique de cet album : l'organique et l'électronique se mêlent sans qu'il soit réellement besoin/possible de les distinguer. On retrouve par ailleurs ce qui définit la musique de SEBKHA-CHOTT depuis le départ : une grande versatilité liée à une atmosphère pesante, glauque, avec des références harmoniques à situer du côté des balkans, mais des textures sonores à rapprocher de Sleepytime Gorilla Museum, Fantômas ou Magma pour le côté organique et Depotax ou encore 6Blocc pour le côté électronique, le tout dans des séquences très progressives ou au contraire complètement schyzophrènes qui ne sont pas sans rappeler Mr Bungle et Frank Zappa (références récurrentes).
Dans la plus pure tradition du groupe, la moindre parcelle de sérieux, de beauté, de complexité est immédiatement tournée en ridicule, notamment au cours des interludes. A cette occasion, les membres de SEBKHA-CHOTT s'adressent, à travers leurs personnages, à l'auditeur comme à une seule personne, le sollicitent, le bousculent, le menacent, même.
En particulier, dans sa partie physique v1.0 destinée au public, le groupe s'engage dans l'un des codes du Hip Hop US, en précédant l'album (ceci est un indice) d'une séquence de big-ups et d'un discours mégalomaniaque du Tyran en stéréo bilingue.
L'artwork, signé Slip, est fortement inspiré des sculptures réalisées par Sandra Guillen pour les spectacles de SEBKHA-CHOTT. On y retrouve principalement les Grands Occuloques Metalliques. La pochette, en monochrome, est partiellement sobre, ce qui est assez rare chez SEBKHA-CHOTT. Cette sobriété est destinée à s'adapter au mieux au packaging en origami exclusivement constitué de carton recyclé plié sans colle. Il s'agit d'une volonté forte de SEBKHA-CHOTT de combiner un objet à haut potentiel fétichiste tout en respectant les engagements du groupe sur le plan écologique (absence totale d'hydrocarbure - plastique, colle... - si on exclue le CD en lui-même), mais aussi sur le plan de l'art libre et de l'accès à la culture (ce packaging est potentiellement reproductible par n'importe qui, au même titre que le CD lui-même, les œuvres musicales et graphiques étant placées sous Licence Art Libre).
Pour autant, comme à leur habitude, les membres de SEBKHA-CHOTT ont pris soin de disséminer de nombreuses "choses" un peu partout entre les représentations partielles de bâtiments Ohrelandais et au sein de la frise non-chronologique qui composent l'essentiel du design, avec l'objectif assumé que cette pochette révèle des secrets bien après sa première lecture.
Production (AMMD www.ammd.net):
Mix and Mastering: Substantif Lambert & ORL directed by Sebkha-Chott Kourt
Artwork: Slip on Lahfass Karcher opressed by Sebkha-Chott Kourt
Execution, realization and production has been made with free softwares only under Debian GNU/Linux (www.debian.org) and TangoStudio (www.tangostudio.tuxfamily.org). Write to orl@ammd.net for more informations about this.
Sebkha-Chott doesn't look neither sound like anything else, and you should better do the very
same.
Sebkha-Chott ne ressemble à rien, et tu ferais bien d'en faire autant. Si tu aimes parler style, on te méprise, mais pas autant qu'on te plaint, alors plante-toi ça dans le rectus solaire : avantgarde / free rauque / hip hop / öttotamponeuses...more
supported by 10 fans who also own “Ne[XXX]t Epilog v1.1 - The Digital Liberation”
This basically feels like traditional Middle Eastern music except amped up and distorted. The performances are insanely tight, and I'd really like to highlight the drumming on here - it's absolutely incredible. The drummer adapts tradition and aggression into something that not only manages to keep up with the guitar/bouzouki but pushes the envelope in its own right. Smekermann
supported by 8 fans who also own “Ne[XXX]t Epilog v1.1 - The Digital Liberation”
Musicalement complètement barré mais jamais ennuyeux! Vraiment excellent de bout en bout. RIO dans toute sa splendeur, pour les fans du genre à se procurer d'urgence! Xuxl
Existing on a plane between ambient, drone, and noise, the riveting new EP from Alejandro Bernal changes shape from second to second. Bandcamp New & Notable Nov 22, 2020
supported by 8 fans who also own “Ne[XXX]t Epilog v1.1 - The Digital Liberation”
Oufff! Une musique insidieuse qui s'infiltre dans les sens les abreuvant d'abord, puis les pervertissant jusqu'à s'y noyer. À l'écoute de cet album, tel l'expression qui dit:''Qui meurt par noyade est rassasié d'eau'', l'hébétude après l'asphyxie fait graduellement place à la sérénité liée à la complétude sensorielle. Yééééé! Maison Planàterre